La tuile à Loups

  

      Parfois il fait si froid que les loups en viennent à attaquer les foyers humains. 

  

    « Le chant qui venait du froid :

       Selon les textes, les tuiles aux loups (aussi appelées Tuiles à Loups) étaient des tuiles spéciales que les anciens couvreurs disposaient sur les toits et qui annonçaient en sifflant le vent du nord. C'est ce même vent qui ramenait vers les villages les meutes de loups affamées. » (lien)

 

       Toi qui es un renard, je sais que c’est dur pour toi aussi, ici, autant que pour les humains. Car ici ce sont les loups qui font la loi.

 

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     Ici la misère et le froid n'ont pas toujours les apparences que l'on pourrait croire. Ainsi aujourd'hui, les plus miséreux sont souvent les plus obèses (car victimes de la malbouffe) et les plus gelés sont souvent ceux qui ne pensent qu'à entasser toujours plus d'argent et à grimper au sein de la meute en entassant des centaines d'heures de travail supplémentaires, comme s'ils avaient toujours manqués de tout alors que. Par exemple. Certains aussi parmi les plus miséreux se croient des loups (au sommet de la chaine alimentaire) juste parce ce qu'ils mangent de la viande (OGM) tous les jours ou juste parce qu'ils pondent plein d'enfants (pour l'industrie nationale). Par exemple.

     Une sentence humaine si profonde qu'elle doit certes avoir un fond de vérité dit : « L'homme est un loup pour l'homme ».

 

    Cela pourrait vouloir dire que comme les loups, à priori l'homme n'attaque pas l'homme. Mais cela veut dire aussi que quand il fait si froid qu'il n'y a plus rien à manger ni de refuge nul part, alors tels des loups, quand il est dans la misère et gelé, l'homme peut attaquer l'homme. Ou quand il a déjà gouté à la chair de l'homme.

     L'épée est une invention de l'homme, et elle ne concerne d'ailleurs que les hommes entre eux. Les hommes et les femmes, et les hommes contre les femmes.

 

     Il y a sur cette planète, vraiment, des gens qui se prennent pour des loups et des louves ennemis de l’homme.
 

    

 

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     Le culte des nanas préhistoriques se réveille. Elles ne sont pas plus tendres avec les hommes que ne l’ont été les cultes machistes judéo avec les femmes, surtout les femmes intelligentes et magnétiques. Le matriarcat, règne de la femme, et en particulier le règne des nanas sacrificatrices de mâles, aurait d'ailleurs précédé le règne de l’homme (patriarcat). L’apologie de leur culte fut curieusement aussi pratiqué sur les territoires occupés par Daesh, par leurs équivalents masculins.

     Cette guerre des sexes existe depuis toujours et partout. C’est la vie.   

     D’ailleurs l’armée américaine serait parait-il en train de devenir le terrain de jeux des féministes et des transgenres (les quotas raciaux et les carriéristes occuperait le reste des préoccupations de cette armée).

     Ici, ce sont les loups et les louves qui font la loi.

 

     Est-ce que les gens se complaisent dans la vulgarité et les émissions de téléréalité ? Bien sûr qu’ils s’y complaisent, et leurs soi-disant « élites » leur ressemblant étrangement. Ils ont des maîtres qui ne les dérangent pas, même quand ils sont plutôt moutons ou veaux et leurs maitres plutôt des loups.

 
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     Moi mon envie c’est d’être un honnête pirate neutre. Éviter les « Axes du Bien » si possible.

 

     Ben oui, les gens ils s’y complaisent dans ce qui est vain et secondaire. Et le Q.I. en général qui baisse en France.

     Les choses économiques ? Il faut prendre les choses à l’endroit. Est-ce que la plupart des gens d’aujourd’hui sont vraiment fait pour être libres ? Question  à laquelle il ne m’appartient pas de répondre. Mais question que nos dominants loups, qui pourtant ne valent pas mieux que leurs troupeaux, ne se posent plus du tout. Pour eux, ceux de ce 21ème siècle, il n’y a que la loi du « Marché » qui compte. Et la « loi Travail ».

 

     Le Marché aux esclaves. Un prolétaire d’aujourd’hui de chez Renault, si l’on fait bien tous les calculs, revient moins cher qu’un esclave de plantation du Sud pré-guerre de Sécession. On n’a pas besoins d’ « acheter » le prolétaire, ni de l’habiller, ni de le soigner, ni de le surveiller, ni de le motiver. Le spectre pour le prolétaire d’aujourd’hui, de finir à la rue, est une bien plus grande motivation que tous les coups de fouet du monde.

     En plus, le prolétaire d’aujourd’hui, perfectionné par l’instruction publique et la télévision, génétiquement modifié par des générations de « civilisation », ne peut même pas comprendre ce mot de Nietzsche :

     « La belle affaire ! Le salaire est l'arme moderne de l'esclavage. Fi ! À supposer que vous ne ressentiez comme une honte d'être utilisé en tant que rouage d'une machine ! Fi ! Croire que vous pourriez remédier, par un salaire plus élevé, à l'essentiel de votre détresse, je veux parler de votre asservissement ! »

 

     Ils s’en fichent bien, de Nietzsche, sauf quand il s’agit de passer son bac.


 

     La réalité doit dépasser la fiction, comme on dit, et ce depuis la nuit des temps, comme l’on dit aussi. Et toi, qu’est-ce que tu en penses ?

     Tu ne sais pas quoi penser : de mon droit à la paresse ?

 

     Étymologie du mot travail (lien) :

   

    « L’origine du mot travail vient du latin tripalium, qui était un instrument de torture à trois pieux. Cela montre à quel point le travail était mal considéré depuis l’époque de la Rome antique ! Lois de Guill. = tourmenter, souffrir. Le verbe travailler vient du latin populaire tripaliãre, qui signifie torturer avec le tripalium Au XIIe siècle, le sens de travailleur devient plus moderne, signifiant celui qui tourmente. Dans la Grèce antique, seul le travail agricole était parfois valorisé. En général, il fut réservé aux esclaves dans la plupart des civilisations jusqu’à l’ère industrielle du XIXe siècle. Au Moyen Âge, les ‘ lettrés ‘ méprisent le travail agricole et tout ce qui n’est pas intellectuel. Les clercs et les chevaliers considèrent ceux qui travaillent comme inférieurs. La corvée était d’ailleurs le travail obligatoire gratuit dû par les paysans à leur seigneur, d’où sa signification actuelle : une corvée est bien une tâche obligatoire déplaisante. Au XIIIe siècle cependant, le principe du travail se modernise un peu, réhabilité par la scolastique (philosophie enseignée dans les universités au Moyen Âge), et les cisterciens se mettent à cultiver leurs domaines. Le travail devient ensuite facteur de production au XVIIIe siècle, puis vu comme une liberté créatrice au début du XIXe siècle. Enfin, la notion de salaire vient en contrepartie de la pénibilité du travail, offrant de ce fait la possibilité théorique de s’enrichir par ce même travail. »                       

 

     Il n’y a que l’Église et Médiapart pour faire semblant de croire que l’homme est fait pour travailler.

     Regarde les, ces gens-là de l’Église, ils s’habillent même comme des loups avec leurs mitres de déguisement, et les bagues rouges et efféminées et mafieuses de leurs ministres.

     Mais tu sais, la plupart des gens, ils n’en n’ont rien à fichtre, de tout ça.

 

 

     C’est sûr, moi je vois ça comme ça :

     « Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi tu creuses. »

                                            (« Le Bon, la Brute et le Truand » / Sergio Leone)

 

     Parfois, certes, on peut même en arriver à vouloir creuser de soi-même, parce que c'est quand-même mieux que de finir à la rue.

 

     Great Familie. Les meilleurs amis et les pires ennemis. Toujours. Famille biologique, spirituelle ou culturelle. Great Familie.

     Les apparences sont souvent trompeuses, comme on dit.

     Religions monothéistes du Loup. Chez les chrétiens, on y aime l’image suppliciée d’un fils de l’homme. Chez les autres… ce n’est pas mieux, tant la brutalité contre toute curiosité bien humaine y sévit sans pitié.

    

      Il paraît que la louve, dans l’Antiquité, symbolisait une prostituée. La fameuse louve de Rome signifie que les fonda­teurs de Rome, Romulus et Remus, ont été adoptés et bercés et éduqués par une prostituée.

     Romulus le Romain fut un loup pour son frère qu'il tua pour un acte de propriété, comme Jacob fut un loup pour son frère. Jacob ne voulut pas tuer Ésaü, mais en plus de le déposséder matériellement et lui prendre sa couronne, il voulut lui voler la bénédiction des ancêtres et des dieux.

     Voler à leurs ennemis la bénédiction des ancêtres et des dieux, c'est peut-être le réflexe des Américains d'aujourd'hui, quand ils sont aussi procéduriers, aussi fanatiques à se définir comme étant du coté du Bien, de l'Axe du Bien, et de leur dieu jaloux et tout puissant / et toujours vouloir définir, de manière tout aussi fanatique, leurs ennemis potentiels, les pauvres et les petits délinquants comme étant l'Axe du Mal.

     Parfois derrière les religions, il y a un loup comme on dit, c'est l'histoire des poupées russes emboitées l'une dans l'autre, ou comment les USA se servent des islamistes et des Rohingyas  ? 

 

 

     Plusieurs personnes m'ont affirmé que chez les Roms et les Gitans, il y aurait chez certains comme un culte du Loup. Que quand une mère attendait son enfant, ils se réunissaient en imitant les bruits des loups, autour de son ventre, pour préparer déjà l'enfant à sa future meute. Réalité encore d’aujourd’hui ? Il y a une légende dans ces communautés venues d'Inde, qui dit qu'un jour un dieu leur a demandé de tirer une carte, et qu'ils ont tiré la mauvaise carte.

      « Il a un rire de voyou / Dans le fond des yeux : des amis / Il a le cœur au bord des coups / Le Gitan, le Gitan, / Un peu renard, un peu loup »
                                                                                                        (Daniel Guichard)

 

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Le Petit Chaperon rouge (lien)

 

 

     Johnny, il voit tout ça comme l'histoire des voyous « entre chiens et loups ». Moi, en plus, je veux bien éventuellement être chien : mais pour qui, et pour quoi ?

  

    Moi, je pense que ça va beaucoup plus loin, et qu'on trouve « ça » en abondance chez le travailleur de base, et chez les princes, de tout partout. Il y a de tout partout.

 

     Mon truc c’est plutôt Bouddha, même si l’épée est aussi un objet pas que symbolique, et bien humain. Certes.

     Humain, trop humain.

 

     Les dieux, y compris Apollon, Jéhovah, Bouddha, Jupiter,  Odin ou Krishna, correspondent également à des archétypes humains (pareil pour les dieux du Vaudou).

     À des âmes et des psychologies bien humaines même si certaines s’assimilent d’elles-mêmes littéralement à des loups.

     Des loups à moitié gelés.

     Mais bon, ça ne change pas un homme.

 

     J'ai parfois l'impression d'avoir affaire avec autant d’archétypes humains qu’il y a d’animaux domestiqués et caricaturés à « Disneyland Paris ». Et ça s'ajoute aux loups et aux types astrologiques différents (Lion, Bélier, Poisson, Scorpion, etc.) et même au degré supposé d’éveil. C'est un vrai micmac, dans lequel je suppose que même les innombrables divinités hindous ne peuvent représenter tous ces types humains.

 

     Cela dit, l'Homme (avec un grand H) est peut-être bien lui-même un mythe errant ?

 

     Enfin bon, je vois tout ça un peu comme ça. Sans trop vouloir me prendre au sérieux.

 

 

                                              Odal GOLD

 

                                                                          www.odalgold.com

 

 

 

 

 PS :  Le loup

>> http://guillaumericardtattoo.com/blogue/les-animaux

 

 

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     « La première chose que la plupart des gens vont dire en voyant un tatouage de loup, c'est “duude, mais pourquoi tu te ferais tatouer un loup??” accompagné d'une ou deux remarques désobligeantes sur les hypsters et les chandails de loup en polar. “T'a raison”, je répond à tout coup. “Les loups c'est pas pour tout le monde. Par exemple, toi, t'es pas assez badass pour ça”.

-Whaaat?

     Ça y est, je l'ai dit. Un tatouage de loup, c'est badass. Maintenant je vous explique pourquoi.

     Dans le folklore occidental, le loup est considéré comme un chasseur impitoyable avec une insatiable soif de sang. C'est pas pour rien que dans le p'tit chaperon rouge, c'est un loup et pas un castor qui symbolise la corruption de l'innocence (grand mère, grand-mère, comme vous avez une grosse queue plat-WHAT THE F-). Prédateur extrêmement efficace, le loup chasse de façon organisée et stratégique, ce qui le rend capable d'attraper des proies fucking plus grosses que lui. Pour donner un autre exemple de la sale réputation du loup, on dit souvent que la société est composée de loups et de moutons, comparant les loups aux politiciens corrompus (tout comme le requin) et aux criminels organisés. Non mais sérieusement, quand on est comparé à un politicien, c'est qu'on a vraiment une sale gueule. Le loup représente donc la loi du plus fort, prendre ce qui nous reviens par la force et n'avoir aucun remord. Bref, le loup symbolise un prédateur sans scrupule.

     Mais d'un autre côté, le loup est un des animaux les plus loyal qui soit. Il est extrêmement fidèle à son groupe, respecte une hiérarchie stricte, et est un des rares animaux à ne s'accoupler qu'avec un seul et même partenaire pour toute la vie. La meute d'un loup est tout ce qui compte pour lui, et il lui dédie toute son énergie.

     C'est là toute la beauté du loup: Un prédateur impitoyable d'un côté, et de très fortes valeurs familiales de l'autre. Un pour tous et tous pour un et la loi du plus fort réunis dans un seul et même concept, une antithèse ultime entre l'honneur et le déshonneur, la soumission et la férocité. C'est pour ça que le loup est badass, et qu'il est pas pour tout le monde. Pour être un loup, il faut être en même temps hyper loyal avec ceux qu'on aime, et un peu crosseur sur les bords avec tous les autres. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



22/09/2017
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