Pour se partager les femmes.




     « Ces deux filles étaient très belles. Or la beauté physique fait aussi la beauté morale. »


                                                                          Jean-Marie Déguignet (1834 - 1905)



     Man, l'homme est naturellement au moins comme un lion. Il en a au moins les instincts. Les femmes sont en partie dominées par des hommes. Ils ont tous les deux, l'homme et la femme, au moins tout autant que chez les lions, toutes leurs griffes, tous leurs crocs.

Ils sont armés tous les deux, et possèdent tout leur instinct du vivant. Je ne te parle pas de ma vie, mais de ce qui me semble correspondre à la forme humaine.            

                    

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Certains s'inquiètent de la féminisation de nos sociétés, et s'effarouchent que des femmes puissent être « libé­rées ».

 

Et pourquoi pas, si les hommes ne valent rien, et surtout ceux qui prétendent en être les leaders, ou qui sont représentatifs ? (Je n'ai pas le culte des chefs ni de l'ordre, et encore moins d'une société qui pourrait soi-disant être virile – quand les « hommes » ne vaudraient rien.)

 

La foule a toujours été dominée – aujourd'hui encore – par des hommes efféminés, pervers et cruels : qui des barbus, qui en soutane, qui avec une couronne sur la tête – et autres breloqueries absolument nécessaires pour assurer leur ascen­dance.

 

C'est encore dans notre Occident actuel, soi-disant féminisé, que peuvent en apparence le mieux se réaliser les « vrais mâles » ? Jamais comme ici, en vérité, les mâles n'ont pu se réaliser, et assou­vir leurs désirs en apparence : de comprendre, des femmes (libres) à posséder, de volonté de puissance, d'adrénaline, et des autres aventures des animaux maraudeurs et royaux.

Même si tout en Occident n'est que faux-semblants : quand on regarde les faits, l'homme occidental est surtout consumé dans le monde du travail. Il croit être au sommet de la chaine alimentaire parce qu'il consomme de la viande (OGM) tous les jours. Alors qu'en fait, en Occident d'aujourd'hui, ce sont souvent les plus miséreux qui sont les plus gros.

 

  Un jour on pourra imaginer le pays des comédiens. On pourra paraître manger, aimer, se divertir, apprendre, vouloir – mais on ne pourra pas être.

Par là vont tous ces faux diamants, magnifiques et tape-à-l'œil, qu'on appelle les Occidentaux, leur tolérance, leurs droits de l'homme. Ce qu'ils font semblant d'être me convient tout à fait.

 

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 Au contraire, il y a des pays et des cultures où l'on pense que les valeurs Occidentales ne doivent pas avoir cour. En général, les femmes y sont malmenées, on leur arrache leurs griffes, leur liberté et leurs armes.

 

 Dans ces cultures-là, les hommes ont encore moins de consistance que les Occi­dentaux, et ils essayent de pallier, par la simple brutalité, à leur manque de force vitale, de perspicacité, à la débilité de leur être. 

 

 C'est pourquoi les Sociaux ont besoin des lois et des rites hypnotiques, pour se partager les femmes.   

                 

 A propos des rites et des lois hypnotiques, je ne peux pas m'empêcher de citer l'une de mes lectures favorites :

 

« Lorsque j'arrivais avec ma femme, le coquin était déjà à l'autel, prêt à mâchonner ses oremus, à invoquer le dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, c'est-à-dire le farouche Jéhovah, le dieu des bandits, des satyres et des assassins, à venir bénir notre union. »

 

     (et plus tard...)

 

« Nous pûmes nous livrer à ce suprême bonheur sans crainte, sans scrupule, sans fausse honte, avec tous les dons que la mère nature nous avait gratifiés. Jamais ce bonheur sublime ne fut mieux goûté ni mieux partagé qu'il ne fut par nous deux, en vrais enfants de la nature, dans toutes nos forces et la maturité, dans la confusion et la fusion de nos deux êtres qui ne faisaient plus qu'une et même chair, comme dit l'écriture  :

O giorno memorabile di tanti filici (Ô jour mémorable de mes moments heureux, Mon âme s'en rappelle aujourd'hui)


 

Oui, pour ces quelques heures de suprême bonheur, j'ai pardonné à Marie-Yvonne toutes les douleurs dont j'ai été accablé plus tard. »

 

               Mémoires d'un paysan Bas-breton - de  Jean-Marie Déguignet 1834-1905 (Pocket)

 

 

Mais, Jean-Marie, est-ce que ta Marie-Yvonne valait vraiment mieux que toutes ces souffrances, et subir ces rites et ces lois hypnotiques et contraignants ?

 

Argent trop cher ? Amour aujourd'hui encore trop cher ?


    Heureusement qu’il y a les Amazones ?? ?



 

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11/05/2007
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