J’ai remarqué dans les boites où sont rangés les gens

 

 

 

Le gang des secrétaires de chic et de choc dans les boites où sont rangés les gens

 

 

   En particulier j’ai remarqué dans les boites où les gens sont rangés, il y a ce « gang international dit « des secrétaires ». Pour les membres de ce gang, même les boss et les cadres resteront pour toujours des enfants et d’ailleurs sans elles, rien ne serait possible, et c’est elles qui supervisent, même que parfois elles sont bien obligées de faire leur travail à leur place tellement c’est des incapables et des bons à rien.

   Tu crois qu’elles te sourient ou quelles rigolent, et même que le café quelles t’offrent : c’est juste pour évaluer, parce ce qui fait la pluie et le beau temps dans les boites où sont rangés les gens, et bien c’est elles évidemment.

 

   C’est qui, à ton avis, qui s’occupe des promotions comme ça parle là-dedans et même que c’est du lourd, et qui peut te mettre à l’aise dans la boite ou au contraire te faire la pire des misères que tu ne t’en évades pas comme ça c’est leur boite quand-même, hein, c’est qui ? 

 

analysis

 

analysis - de Pixabay (lien)

 

 

   Elles n’oublient jamais rien et elles ne rigolent jamais. Les secrétaires prennent les gentils pour des niais quelles transformeront en chien en dieux en Tintin ou en anges au ciel pour les protéger pour l’éternité, tu peux compter sur elles.

 

   Ceux qui n’ont jamais travaillé avant l’âge de 25 ans et les délinquants, il ne faut pas qu’ils s’inquiètent, elles ont d’office de grands projets pour eux, elles savent déjà comment leur permettre littéralement de changer leur tête.

 

   Les seuls quelles apprécient vraiment, c’est comme ça, c’est les petits gars qui gesticulent à leur maximum genre petit chef caricatural, ça c’est leur truc.

   Vraiment elles affectionnent.

   Gérer une boite ou un pays c’est pareil, de toute façon il n’y a qu’une méthode de management et c’est le management directif, ainsi elles, elles au moins, elles ont du caractère le vrai charisme la vraie force en elles l’autorité innée c’est des guerrières et des meneuses, en fait : c’est simple, elles sont toutes faites du bois dont on fait les cheftaines.

   « C’est pas pour rien » qu’elles appartiennent à ce gang

 

   Il y en a quand elles rentrent dans le gang elles sont trop naïves trop gentilles, heureusement 5 ans 10 ans après 15 ans tout au plus, les nouvelles deviennent à leurs tours complétement impitoyables comme il faut, et elles durcirent elles acquièrent le cuir épais et l’autorité naturelle des vraies cheftaines, juste elles sont comme ça.

   Ainsi sont-elles !

 

   Elles le savent toutes dans le gang, et c’est leur grande fierté et leur grand secret : c’est un gang ça leur arrive de contrôler carrément un pays avec comme « homme de paille » ce genre de petit gars carriériste et qui gesticule et qui gesticule tout le temps.

   Et leur gourou, tu peux en être certain, c’est forcément comme elles une « très très bad grosse copine » :  le genre « Rastapopoulos » ou le milliardaire « Laszlo Carreidas » dans l’album de Tintin « Vol 714 pour Sydney » (lien).

 

   Dans cet album, « Rastapopoulos » et le milliardaire « Laszlo Carreidas » (lien) se sont pris malgré eux une giclée de sérum de vérité.

   Ils ont tous les deux une mauvaise descente d’acide comme on dit, et même qu’ils seraient un peu mythomanes, ils s’en vantent ils sont le génie du mal, et même que c’est lui, « c’est pas » l’autre.

 

   Ça les fait bien rigoler les secrétaires de chic et de choc dans les boites où sont rangées les gens, même eux ils croient des choses leurs gourous « Rastapopoulos » et « Laszlo Carreidas »

   En y regardant bien, il n’y a que là et il n’y a même jamais eu que là, que je les ai entendu rire vraiment, « les secrétaires de chic et de choc dans les boites où sont rangées les gens ».

 

   Elles sont vraiment contentes et satisfaites quand les petits gars qui gesticulent dans les services et qu’elles ont choisi, ils leur parlent aussi de ce genre de « vrai génie » qui va les accompagner dans leur carrière tout en tout en haut de l’affiche.

   Elles rient entre elles c’est leur petit plaisir parce que c’est des malines : personne ne s’en est seulement rendu compte, et même que c’est elles qui ont aussi choisi le vrai génie le gourou et puis c’est tout, c’est entre elles.

 

   Le genre de génie que ce gang apprécie vraiment, oui c’est les absolument et extrêmement « bad de bad », « ceux qui rigolent jamais » qui savent qui sont absolument et définitivement impitoyables de impitoyables, qui sont « tatoués bad de bad oui », exactement comme chez elles leur cœur qui est « bad, plus bad que bad », un jour tu comprendra ta douleur.

 

 

 

« Tu peux même pas imaginer »

 

 

   D’ailleurs tu vas voir quand le « gang des secrétaires de chic et de choc » il aura pris le pouvoir : tu vas voir comment elles, « tu peux même pas imaginer » comment elles c’est des sérieuses des vraies de vrai « sans pitié » qu’elles plaisantent jamais, elles.

 

   Et toi, quand elles t’obligent à parler tout le temps de sauver les bébés hérissons sur les chemins ou de venir rapidement en aide à tous ces arbres en péril ou que tu leur dois le respect ou que tu leur dois la vérité leur être absolument transparent, et même qu’elles savent déjà ce que tu penses : tu ne comprends rien à ce qu’elles racontent. 

 

 

comics-starwars

 

comics-starwars - de Pixabay (lien)

 

 

   C’est que ces femmes-là, les secrétaires de chic et de choc dans les boites où sont rangées les gens, sont des hommes comme les autres.

 

   Et ce sont les mêmes femmes et les mêmes hommes souvent qui te parlent qu'il faut sauver les gens et la planète, et qui en fait ne pensent ainsi qu'à tout salir, et les gens et les bêtes.

 

   C’est très sérieux, « ils et elles rigolent pas, eux », just do the job, ça gesticule et « ça rigole pas du tout » en fait.

 

 

 

 

L'art de la guerre c'est aussi savoir garder l'empathie

 

 

   Dans la paix, parfois plus d'horreurs que dans la guerre.

   Dans l’excès de paix, il faut savoir se protéger le cœur des amuseurs, des courtisans, surtout de la jalousie, de ce qui est vain, de ceux qui te poussent à tuer tes amis ou à te faire croire que tu n’es rien ou au contraire que tu es tout.  

 

 

   L'art de la guerre, c'est aussi savoir se protéger de trop d'horreurs.    

   L'art de la guerre c'est aussi savoir garder l'empathie.

   Ici ils ne savent pas faire la guerre et il n'y a pas d'amour non plus.

 

   Chez eux il n'y a plus que des règlements et des petites fiches pour bien tout pratiquer à la manière des clowns qui s’entrainent si bien, et leurs sourires et leurs rires tellement inquiétants - même toi tu ris.

 

   On dirait parfois que ce genre de sourire sinistre a été gravé, sur le visage des clowns, dans une pure haine des sourires de certaines divinités féminines indous.

   Ces sourires si particuliers sont à priori bienveillants.  

 

 

   Dans les boites où sont rangées les gens, si tu baisses la garde, emporté tu risques d’être, par cette envie de tout salir, et les gens et les bêtes, de tout avilir, les arbres, les pierres, les mots, partout autour de toi comme une espèce de poisse de malchance de haine qui veut même dégoûter détourner de soi-même, entraîner dans des pactes et des contrats et des actions pour me noyer pour que je bascule et que j'en arrive même à vouloir assassiner mon âme ou à trouver cette expression complètement ridicule.

 

 

 

Le chant des sirènes

 

 

   Il y a quelque chose ici, dans les boites où sont rangées les gens, qui voudrait que je perde le goût de l’essentiel et même le plaisir simple d’avoir réussi quelque chose pour une fois.

   Dans les boites où sont rangées les gens, il y a comme quelque-chose par ici qui exige que je devienne seulement utile. 

 

 

little-mermaid

 

little-mermaid - de Pixabay (lien)

 

 

   Mais c’est un monde beaucoup plus dangereux encore qu’il n’y parait.

   Et il faut le savoir, il y aurait pire que ces boites où sont rangées les gens.

   Pour dire.

 

   Il y a plus loin partout des chants des sirènes, au large, qui attirent irrésistiblement les gens pour qu’ils se noient carrément.

   Certains font comme le célèbre Ulysse (lien) et se font attacher à un mat (lien) pour ne pas être entrainés et sombrer.

   D’autres s’affranchissent de toute attache.

 

   Le reste, on verra bien.

 

 

 

 

                                              Odal GOLD

 

                                                                          www.odalgold.com

 

 

 

 

 



20/11/2023
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