Et moi, je me saoule au lait !

Le lait et le savoir : be happy !

   Le lait des femmes et celui des vaches. Le savoir des hommes et celui des livres.

   Les Eddas vikings ont parlé du temps glacial des débuts où il y avait déjà une vache :

   « Tout au début, il y avait déjà la vache Audhumla (en vieux norrois : Auðumbla ou Auðumla), qui est la vache nourricière du premier être vivant : le géant Ymir. » (lien)

   Les Vedas (lien) de l’Inde des Anciens parlent ainsi des vaches sacrées :

   « La vache est vue comme une « Mère universelle » (la vache, sous le terme gaya, veut dire aussi « douceur »), du fait qu'elle donne son lait à tous, même à ceux qui ne sont pas ses veaux. » (lien)

   Et puis dans les westerns spaghettis de Sergio Leone, il y a ces citoyens de tous les jours qui sont des « Cowboys », des « garçons vachers » en bon français, et tout ce qui tourne autour des vaches des Guns et du lait (lien).

   Partout où il y a le lait des vaches, on parle de tout ce que tu dois savoir.

   Car c'est le savoir et le lait qui font ce que doit être un homme ou une femme.  

Milk Le verre Lait Lanceur - de Pixabay (lien)

   Le lait, c'est ce qui permet de devenir Strong and Brave, et le Faith avoir (lien), et ma superstition qui en vaut bien d'autres.

   Le savoir aussi, c'est ce qui permet de devenir Strong and Brave, et le Faith avoir.

   Une bonne terre et le soleil exactement. De la vitalité et des bonnes ondes. C'est ce qui fait un homme ou une femme.

   Aussi loin que remonte ma mémoire, chez les humains déjà tout au début il y avait quelques sabres parmi eux.

   Après je n'explique pas, comment les femmes ont perdu le goût de donner leur lait ni comment les hommes ont perdu le goût de donner leur savoir.

Dès le début, il faisait déjà tellement froid !

   Je ne sais pas comment ni pourquoi cela a pu se produire et dans une telle proportion.

   C'est juste un fait.

   Je ne dis pas que c'est bien, je ne dis pas que c'est mal.

   Parfois je dis juste vite fait : c'est curieux.

   Le monde est bien fait. C'est le bon à priori.

   Après : je ne sais pas.

   Déjà tout au début était la glace. 

   Et si tu n'y prêtais garde : vite fait tu gelais debout.

   Déjà tout au début même ceux qui se prenaient littéralement pour des loups et des louves, ils avaient eux aussi tellement froid qu'ils attaquaient directement les hommes et les femmes.

   Dès le début et autant que ma mémoire puisse le conter : il n'y avait pas de discussion possible avec ceux qui se prennent littéralement pour des loups et des louves.

   Il faisait tellement froid, tellement froid.

   Oh, et même parmi d'autres humains par milliers : tu pouvais mourir debout, complètement gelé ou dévoré par ceux et celles qui se prennent littéralement pour des loups et des louves.

   Heureusement qu'il y avait des tuiles à loup (lien) qui prévenaient certains humains encore sur leur garde. 

   Ces tuiles à loup avaient un son strident qui vrillait les oreilles et même le corps.

   Ces tuiles étaient construites parmi les autres tuiles sur les toits et leur son extrêmement strident était là pour alarmer de ce froid qui était extrême et du danger de ceux et celles qui se prennent littéralement pour des loups et qui avaient tellement froid, eux aussi, qu'ils attaquaient directement jusqu'à l'os et jusqu'à la moelle celui et celle qui n'avait pas compris à temps.

full-moon-milk-cowboy - de Pixabay (lien)

« Ces paroles chuchotantes » signifiant qu'il fallait aussi prendre garde !

   Autant que ma mémoire remonte, il y avait ce froid glacial ainsi que le cri terrible de ces tuiles (lien), ainsi que des sabres ici et là.

   Drôle d'époque où il y avait, ajouté aux cris stridents des tuiles à loup : l'éclat de ces paroles tracées gravées sur le bronze et l'acier de certains sabres et même de certaines haches et des lances :

   « Méfie-toi de ta mère : ici le lait des vaches vaut mieux que celui des femmes.

   Méfie-toi de ton père : ici le savoir des livres vaut mieux celui des hommes. »

   Cela était particulièrement bien gravé sur certaines épées de bronze ou d’acier, « ces paroles chuchotantes » signifiant qu'il fallait aussi prendre garde à ceux qui étaient des hommes et des femmes, beaucoup d'entre eux étaient déjà presque devenus comme ceux qui se prenaient littéralement pour des loups et des louves.

   Ils et elles avaient des accès de jalousie plus que maladive et beaucoup déjà ne pensaient qu'à transformer même leurs enfants en dieux ou en déesses : pour les sacrifier ensuite en riant et avoir ainsi une protection au 🌈 ciel pour l'éternité (lien), tel Thétis, la mère du fameux invincible Achille, dans la guerre de Troie. :

   « Thétis donna, il est vrai, des enfants à Pélée, mais elle les tuait, en essayant de les rendre immortels. Si bien que, lorsque Pélée, pour sauver Achille, le dernier-né, le lui arracha des mains alors qu'elle le trempait dans le feu, elle s'enfuit. » (lien)

   Beaucoup des humains et des humaines avaient fait très consciemment le choix de combattre du côté de ceux et celles qui se prenaient littéralement pour des loups et des louves.

   Ainsi étaient-ils : des gens malins qui n'avaient qu'à sacrifier et attendre ainsi d'avoir leur protection pour l'éternité.

   Certains, à la forme pourtant bien humaine, ne croyaient même plus à la puissance de l'épée ni à sa force ni aux mots pourtant sagement gravés sur beaucoup d’entre elles. 

milk breakfast and book - de Pixabay (lien)

   Et pourtant, l'épée qu'elle soit en bronze ou en acier ou quelle ait des « chuchotements gravés » dessus ou non, est la seule arme que les hommes et les femmes utilisent manipulent dirigent : seulement contre d'autres hommes et contre d'autres femmes.

   Et pourtant le paradoxe n’est-il pas que parfois c’est le seul moyen pour garder son cœur et son âme.

   Certains ne comprennent même pas que l’on puisse vouloir partir de cette vie avant d’être abimé.

   Just Tourist.

   Certains et certaines ne voient pas du tout à quoi peuvent bien correspondre des expressions comme : « ressentir au fond des tripes – c’est mon cœur qui me l’a dit – ou le rapport entre le souffle, respirer, et l’inspiration ».

   Et des sentiments que les autres n’auraient pas – moi non plus.

   Oui, heureusement aujourd'hui, tout le monde le sait bien, qu'il n'y a même plus besoin des épées.

   Tout le monde le sait bien aujourd'hui qu'il y a la Justice et la loi qui protègent chacun pour le bien de tous et qu'elles stipulent bien que les vrais guns les pistolets et les sabres sont devenus inutiles.

   Aujourd'hui, l'important c'est d'être heureux, et puis voilà.

   Heureusement aujourd'hui, tout le monde le sait bien qu'il n'y a plus aucun risque, qu'il n'y a plus que le confort et le bonheur.

   Aujourd'hui, tout le monde veut aider et protéger tout le monde de tout risque et en cas malgré tout de naufrage (mais il faut bien le graver ici, cela constitue une improbabilité totale) : de toute façon tout le monde serait là pour t'aider et te secourir et toi comme les autres.

   Tous ensemble, tous ensemble, « tout le monde » qui est libre majeur et vacciné et même toi.

Des mots chuchotés là qui les concernaient

   Il y en a même, ils sont comme des disques rayés, on le sent bien à leur ton qu’à un moment ils ont fait partie eux-mêmes des sacrifiés dans les marais celtes (lien).

   Et ils tiennent toujours et toujours ces mêmes propos :

   « Mais tu es prêt à aider les gens quand-même, les gens en désespoir en perdition !? Et si tu voyais des gens se noyer, tu irais les sauver quand-même, non !? Il faut les sauver quand-même et même la planète et même l’univers, tu ne comprends donc pas  ça tout de suite tu n’entends pas leurs appels au secours, tu es donc insensible, il faut faire quelque chose tout de suite !

   Parce que cela devait être leurs derniers mots à un moment et alors ces mots les concernaient, et ces mots sont resté gravés dans les tourbes comme d’autres restent gravés sur des vinyles ou que d’autres encore restent gravés là dans des endroits d’inquiétants mystères.

milk le lait éclaboussure ricochet temporel Tir - de Pixabay (lien)

   C’est très souvent une arnaque de toujours vouloir aider, comme le « charité business » (lien) ou de toujours parler au nom de. Et les arnaques sont des choses bien humaines, et je suis un humain pas simple simple, mais relativement, relativement simple.

   Mais ce n’est pas le sujet de ce genre de facéties plutôt communes et bien humaines : je le vois bien direct dans leurs yeux de noyés de je ne sais quel naufrage – quand j’ai le bon angle de tir pour une photo flash – que derrière la soi-disant arnaque, cette facétie communément humaine, il y a des milliers de tragédies celtes (lien).

   Elles parlent aussi bien des « Printz » que des « Räuber » (lien), et de bien d’autres encore.

   Le genre de tragédies celtes (lien), où dans les marais et coupés littéralement en deux, finissaient tous ceux qui ne plaisaient pas aux Nanas Préhistoriques qui sacrifiaient les mâles (lien), et qui ne plaisaient pas à d’autres qui se prenaient littéralement pour des loups.

   Que la folie et la tromperie soient !   

   Moi, tout ce que j'espère, c'est que là où ils iront, je n'irai pas forcément.

Le bon angle de tir

   Depuis aussi longtemps que ma mémoire puisse aller, il y avait déjà quelques sabres parmi les humains et des gens abandonnés dans les marais, des épopées avec du panache quand-même, mais bon. Dès le début, il y avait aussi de « ces histoires de vachers et de vachères » avec des bons, des brutes et des truands (lien).

   Il y a pour finir beaucoup de spectres de gens qui se prennent littéralement pour l’axe de l’axe du bien et qui ne comprennent pas et n’aiment pas les facéties humaines. Ceux-là sont ou surtout s’imaginent toujours dans les premières classes du Titanic, où quand-même 60 % des naufragés ont survécus (lien).

   Et effectivement, ils sont tout en haut au sommet le Bling-bling (lien) le panache les gagnants les « Invictus » (lien) les « tout en haut de l'affiche » : oui, tout ça, c'est eux !

   D'accord, et même moi. Mais chez eux, rien d'autre, plus rien d'autre.       

   Leur corps se balance tout en haut de l'affiche.

   Il y en a aussi comme ça. Moi, tout ce que j'espère là aussi, c'est que là où ils iront, je n'irai pas forcément.

   Parfois, oui on peut dire ça comme ça : j’ai le bon angle de tir pour envoyer un « carreau d'arbalète » (lien) ou pour projeter un « As d’Épée » au Tarot (lien) ou pour bien ficher une « photo flash » (lien) exactement dans la mémoire plastique de mon smartphone.

L'« As d’Épée » au Tarot :

   « Dans l’univers du Tarot, l’Épée est toujours associée à l’élément air, et par conséquent au monde de l’intellect, de la pensée et de la parole.    

   Cette réflexion à un moment pourra nous servir de guide et diriger notre action. La couronne signifie le triomphe de la pensée. Et les couleurs suggèrent une harmonie parfaite entre la pensée et l’action. » (lien)

   Happy of myself !

   Et moi, je me saoule au lait !

                                              Odal GOLD

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