« Qu'en dites-vous ? » (Zer diozu?) 

 

 

   « Qu'en dites-vous ? » (Zer diozu?)

 

 

 

 

😁🌞🤔🏕🤗🪵🌓

 

 

   Nous avons visité Chessy (77700), le week-end dernier.

   Peut-être qu’un jour, j’irai vivre à Chessy. Chessy est un bourg extrêmement calme et tranquille, collé sur le célèbre parc d’attraction « Disneyland ».  

 

   Les américains ont reconstitué chez eux à Las Vegas, juste pour ornementer leurs casinos, la Tour Eiffel (lien). Il y a quelque chose de semblable qui s’est passé pour Chessy. Partout on sent l’influence américaine. Partout c’est les mêmes haies taillées à l'américaine c'est le même logiciel le même concept à la base, pas ou plus de mémoire, de cachet, à part celle de Disney. 

 

   Les quelques passants n’y font aucun bruit superflu. Les oiseaux semblent trop polis trop discrets trop réservés. Tout y a été pensé, il y a juste un boulanger, juste un bar-brasserie, juste un coiffeur, un vétérinaire, un marchand de chocolats, et puis celui des légumes, etc. etc. Il y a aussi bien sûr « just the typical » marchand de vin où l’on peut boire un verre de rouge.

   Je suis sûr que même dans les parcs là-bas, il n’y a pas une brindille là par hasard, et encore moins de travers.

 

   Dès notre premier trekking (lien) là-bas, nous avons croisé un very « busy man trader » (lien) qui m’a demandé, pour mon bien, mon nom prénom date de naissance lieu de résidence no de téléphone adresse mail. Tout ça pour mon contentement et ma satisfaction, oui, évidemment.

   Il avait le regard fixe du bateleur américain qui va finir par te la vendre sa camelote, que tu vas consommer et même qu’il est un bon « busy man trader » (lien), qu’il va te gorger à l’entonnoir tu n’en sortiras pas tant qu’il te restera un sou, et que Balthazar Picsou (lien) « il est pas » loin en plus pour vérifier : au cas où tu aurais encore de la mitraille dans les poches (lien). 

 

   C'est plein de couleurs et de saveurs, mais il y a un clown bizarre à l'entrée qui t'a déjà complétement scanné, et à part ça rien n’est vrai.

   Il y a de l’artificiel de la brutalité du transgéniques dans l’air.

   Il faut faire attention, on peut finir là-dedans « pas mieux » qu’un Donald, un Plutôt ou un Patibulaire, « enfoirés » d'une sale manière ; et en plus avec sur le dos la grosse souris monstrueuse du parc juste à côte : que la souris monstrueuse ce serait même le shérif de « In-the-game » (lien). 

 

   « Il vaut mieux pas » trop en rire.

 

   De là parler d’une espèce de secte, je ne sais pas. Il faut juste faire très attention de ne pas trop croire pas trop acheter leur « came », de pouvoir en sortir et en ressortir.

 

   C'est juste des considérations et j'avance. Il n'y a pas d'endroit tout blanc ou tout noir.

   Pour conclure, je peux être bien dans beaucoup d’endroits, et là aussi.

 

 

Suisse normande

 

Suisse normande - de Pixabay (lien)

 

 

 

   Mon pote mon poteau mon ami, à qui j’en parlais, il me dit :

 

   « Vivre dans un lieu de propreté helvétique, voilà qui va rappeler de vieux souvenirs à tes chromosomes »

 

 

   Je ne sais pas encore s’il parlait de la suisse normande (lien), ou va savoir du voyage du HMS Beagle (lien), ou quand j’ai rencontré une suissesse dans une crêperie à Saint-Michel (Paris) et même qu’il ne s’est rien passé, et d’ailleurs je ne lui ai pas encore parlé de « tout ça qui pourrait également rappeler des vieux souvenirs à mes chromosomes », à mon pote mon poteau mon ami.

 

   Du coup, je lui fais à mon pote mon poteau mon ami :

 

   C'est vrai, mais je suis comme un anglais qui a encore « l'humour briton » (lien), donc tout va bien, je touche du bois, il ne faut jamais dire jamais.

   Et puis j'aime la sieste aussi, autant que je peux – et ça, chez les ombrés les gringos les ombres, tous rangées fièrement dans les petites et les grandes boîtes qui font « l'Économie » - quand-même ! - et qui font qu’« un sous est un sous » : ils aiment pas !

 

   C’est bon signe.

 

   J'ai gardé en moi l'antidote british. Et il y a d'autres paramètres rassurants dans mes chromosomes. « Because » je cerne à peu près la maladie des puritains des axés de l'axe du Bien, de l'auréole, du fanatisme moral du conformisme explosé : il m'arrive même de prévenir les morsures des vampires et des « vampirettes » de la finance et des faux-semblants, à coup de pensées punk d'amoralisme tranquille et j'en fais un apriori de de base.

   Juste Feeling ! (lien)

   Easy Road and on the road again. Si possible.

 

   A priori et concernant mes chromosomes suisses ou suisse-normands va savoir, donc : pour l'instant tout va bien, en plus que je ne suis jamais sûr de rien et même de ça.

   Pourquoi tu mets un point d'interro ? 

 

 

 

Lauburu, Croix basque, Yin yang

 

 

Lauburu (lien), Croix basque, Yin yang - de Pixabay (lien)

 

 

 

   Et puis au fait, oh mon pote mon poteau mon ami : tu m'avais dit, j'en suis sûr, que les basques ainsi que la langue basque ne parlaient pas beaucoup de philosophie ni des étoiles. Avec eux, la conversation c'était plutôt des affaires sérieuses le travail à la ferme et le travail dans les champs, d'après toi : pas du tout des huluberlus (lien) les basques.

   D'ailleurs cela devait venir de ta mère qui venait de là-bas : d'aimer travailler et de se méfier comme ça des inutiles des parasites des bons à rien et des fainéants (pour reprendre tes mots), et d'aimer de respecter de vivre d'être le travail d'être son travail, à la ville comme aux champs.

   Pour l'envie côté un peu rêveur, et aussi pour l'envie parfois du « Easy Road and on the road again » (lien), et pas que, on n'est pas des clones, toi et moi, oh mon pote mon poteau mon ami ça c'est vrai, ça au moins c'est de la certitude en béton comme on dit, du terre à terre, du concret.

 

   C'est vraiment très bien comme ça, et les basques ne sont pas tous des clones non plus, et le monde est bien fait comme ça. 

   Les défauts des basques, je ne sais pas, personne n'est parfait. Et l'antidote des défauts des basques, je ne sais donc pas non plus. Mais vu tes chromosomes à toi, oh mon pote mon poteau mon ami, à ce que j’en sais à ce que je crois en savoir à ce que tu m'en dis, peut-être bien que vivre dans cette Chessy, qui après tout est « not so bad », pourrait te rappeler à toi aussi de vieux souvenirs à tes chromosomes. Peut-être même qu'un jour on y sera voisins, et c'est une perspective qui après tout est également « not so bad ». Pourquoi tu mets un point d'interro ?

   Et puis voilà, oh mon pote mon poteau mon ami !😅

 

 

 

   Mon pote mon poteau mon ami, et avec lui il n’y a jamais de quiproquo, il me répond « direct » :

 

   « Il n'y a pas de point d'interrogation dans ce que j’ai dit. »

 

 

 

   Ok, ben moi j'en mets toujours des points d'interrogation, même si je ne les mets pas en intonation carrément, et pas plus par écrit les moments où, je suis toujours étonné par plein de choses.

 

   Spécificité basque, mais ce n'est certes pas un défaut :

   « Le point d'interrogation se place à la fin d'une phrase interrogative et sans espace en basquepqpq0 On n'ajoute pas de point final. Zer diozu? (Qu'en dites-vous ?) » (lien)

 

   J'avoue être parfois un peu naïf et même perdre la face et ne jamais être très certain de grand-chose, même de ça.

 

 

 

 

Et puis il est parti, à la basque

 

 

   Mon pote mon poteau mon ami, et avec lui il n’y a jamais de quiproquo, il prend il a pris le temps d’enregistrer, à la basque.

   Je l’ai vu hocher de la tête, et puis il est parti, à la basque.

   Après tout c’est peut-être dans ses chromosomes ses manières basques à lui, va savoir. Et puis c’est lui qui a commencé.

 

   Et pour le savoir en être sûr, il n’y a, il n’y aurait eu de toute façon que quelques femmes dans son arbre généalogique, c’est logique, « une science exacte, la généalogie ne peut être » : ainsi parlerait le sage Yoda (lien).

 

   Nous sommes donc partis de « vivre à Chessy (77700) ». Et maintenant, mon pote mon poteau mon ami et moi, à la manière classique et à la manière basque, et à force de constater, de s’adapter, de raisonner, de converser, d’intelligence, de tolérance, d’idées, de logique : nous en sommes arrivés à disserter sur les potes les poteaux les amis et sur les clones, et en basque bien sûr, nous conclurons :

 

   « Zer diozu? » (Qu'en dites-vous ? ) 

 

 

 

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10/08/2023
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